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Prendre en compte la vulnérabilité des personnes accompagnées, le respect de leurs droits, l’évolution sociétale, les exigences des fonctionnements institutionnels placent régulièrement les professionnels devant des questions complexes dans lesquelles des valeurs sont en conflit et les réponses difficiles à élaborer.

Quelques exemples :

  • Protéger ou laisser prendre des risques ?
  • Trouver la juste distance et la juste proximité dans l’accompagnement
  • Articuler les droits individuels des personnes et la vie collective
  • Garantir le consentement des personnes quand des pressions extérieures existent…

Fonder l’action des professionnels sur le “bien agir” demande de se doter de lieux et de temps dédiés pour une réflexion collégiale, où les questions sont posées et analysées avec méthode. Cette démarche permet de s’orienter vers des décisions justes, elle construit un corps professionnel qui se questionne à bon escient, se dote de repères solides, travaille en cohésion et cohérence et in fine bénéficie à la qualité de l’accompagnement.

Chez Hovia, la démarche éthique, en train de se construire, s’articule autour d’espaces éthiques de pôles (métiers/géographiques) pour traiter de situations concrètes singulières et d’un comité d’éthique associatif pour des questions transversales et la coordination de l’ensemble.